Robe noire
Elle porte une robe noire, c’était convenu entre eux depuis longtemps. Ils sont sortis en ville pour manger, l’endroit était calme, ils n’ont pas beaucoup parlé. En rentrant, il lui tenait la main, elle avait beaucoup bu, son sourire léger mais continu en témoignait. Ils ont commencé à monter l’escalier, avant d’être arrivé il l’a collée contre la rampe pour l’embrasser et lui pétrir les fesses de ses mains d’homme. C’est elle qui a les clés, elle s’énerve sur la serrure, finit par entrer. Dans le couloir il passe sa main sur ses cuisses et son ventre doux, puis effleure sa culotte. Elle passe sa langue pointue sur les lèvres de son ami, donne des baisers dans son cou, elle aspire sa peau, en respire le parfum particulier, un mélange de tabac et de poivre, et glisse ses bras autour de sa taille. Les mains du garçon se faufilent sous sa culotte, il caresse ses fesses et la tire un peu plus vers lui. Il la retourne, fait descendre la fermeture éclair, la robe tombe sur le sol, la culotte aussi. Elle ne porte pas de soutien gorge, elle n’a pas changé, ça le fait sourire. Il se pose sur une chaise, elle s’assoit sur lui, de façon à ce que son visage soit en face du sien, une jambe de chaque côté. Elle rejette un peu la tête en arrière, il dépose un baiser à la naissance de ses seins, frôle son dos puis plante ses ongles dans ses cuisses. La bouche du garçon vient sur son sein, ses mains toujours sur ses cuisses se placent doucement entre ses jambes, au chaud. Elle l’embrasse longtemps une dernière fois, elle se lève puis se met à genoux sur le sol, elle fait glisser son jean, passe ses doigts sous son caleçon, finit par l’enlever. La tête du garçon se penche près de son oreille qu’il mordille, sa respiration s’accélère. La fille lèche par à coups le sexe masculin, elle finit par le prendre entier dans sa bouche, ses mains s’agrippent à ses cheveux, elle le sent fébrile. Il s’abandonne, le plaisir commence à monter, avant de jouir il relève la fille et l’embrasse, l’allonge sur le sol de la pièce et se pose sur elle, il commence à descendre lentement. Elle frissonne, le sol est dur mais elle l’oublie, elle sent seulement l’autre corps brûlant qui épouse le sien, cette main qui glisse au dessus de ses fesses, lui soulève le bassin pour mieux se fondre en elle. Il se dégage, écarte les jambes de la fille et sa main descend, ses doigts s’avancent et la pénètrent, il la regarde, elle s’agite.
Texte écrit à deux mains, avec Louis.
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